Comment bien plaquer au rugby
Le match opposant les Bleus à Twickenham lors de la deuxième journée du Tournoi des 6 Nations s’est soldé par une défaite (26-25) en toute fin de partie. Pourtant, certains joueurs ont brillé par leur technique de plaquage.
Les meilleurs plaquages ont été réalisés par des joueurs tels que François Cros, Tom Curry, George Martin ou Tom Willis. Leur performance a été remarquable, avec des gestes techniques précis et un sens de l’opportunisme.
Le plaquage consiste à arrêter l’adversaire dans sa progression, en l’empêchant d’avancer ou de passer la balle. Il requiert de l’engagement, du timing, de la puissance, de la technique et de la coordination.
Les différentes techniques de plaquage
Les joueurs de rugby utilisent diverses techniques de plaquage, selon la situation sur le terrain. Certains optent pour un plaquage au niveau du ballon pour empêcher la passe après contact, d’autres préfèrent un plaquage à ras du sol, au niveau des chevilles, pour faire chuter rapidement l’adversaire.
Il est essentiel de bien placer son épaule, ses bras et sa tête lors d’un plaquage, tout en évitant tout contact avec la tête de l’adversaire. Une mauvaise exécution peut entraîner des sanctions et perturber le déroulement du match.
Les propos de Tom Staniforth sur le plaquage
Tom Staniforth, deuxième-ligne de Castres et meilleur plaqueur du Top 14, considère le plaquage comme un élément clé du jeu. Pour lui, empêcher l’adversaire d’avancer et de gagner du terrain est essentiel dans la pratique du rugby.
Il est important de se relever rapidement après un plaquage, afin de ne pas rester dans une zone à risque où les sanctions sont fréquentes. La discipline et le respect des règles sont primordiaux pour éviter les erreurs.
Source : www.lequipe.fr